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23/05/2014

« Aurons-nous été à la hauteur de la dimension magnifique proposée par le Régime écossais rectifié ? »

« Il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la sainte doctrine ; mais au gré de leurs propres désirs, avec la démangeaison d’écouter, ils se donneront maîtres sur maîtres ; ils détourneront leurs oreilles de la vérité et se tourneront vers les fables. »

(Seconde épître de Paul à Timothée, IV, 3-4)

 

Conférence publique de Jean-Marc Vivenza

Valence, 14 mai 2014

« Le Réveil du Régime Écossais Rectifié dans la Franc-maçonnerie moderne. »

 

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« (…) je n'ai plus ni le temps, ni la volonté d'écrire à des morts qui après [des] conseils à eux donnés pour leur faire réacquérir la vie, ne présentent plus qu'un cadavre maçonnique ambulant, enluminé seulement par le titre qu'ils ont usurpé, ayant oublié qu'ils ne l'avaient acquis que sur la foi des engagements les plus sacrés et les plus étendus, qu'ils n'ont cessé d'enfreindre à tout instant. » (J.-B. Willermoz, Lettre à Achard, 11 VIII 1805).

 

 

« Le but de l’Ordre fondé par Jean-Baptiste au XVIIIe siècle, est le dépôt des lois et mystères de la Religion primitive, d’un héritage qui traverse les siècles et qui remonte à la nuit des temps. Son but est de conserver et faire rayonner des connaissances précieuses, spécifiques et secrètes, qu’on ne rencontre nulle part ailleurs, pour les Hommes et Dames de Désir de tous les temps, toutes origines et de toutes nations, en quête d’un authentique cheminement vers la "Lumière", puisque la lumière fut le premier vêtement de l’âme. Il est légitimement habilité à proposer une voie réellement spirituelle et un vrai cheminement initiatique, unique au monde et dans l’histoire de l’humanité. 

Cet Ordre est chrétien et détenteur d’une sainte Doctrine (ou d’un enseignement initiatique non dogmatique), une doctrine oubliée, mise à l’écart par les Eglises conciliaires depuis le VIe siècle. Le projet de la Réintégration des êtres dans leur première propriété, vertu et puissance spirituelle divine est le GERME de l’ORDRE ! 

C’est le plus beau projet existentiel et spirituel qui soit : retour dans l’Amour de Dieu et la réconciliation de tous les règnes de la Création, la fin de la rupture adamique (dont la cause n’est pas la tentation charnelle, mais une désobéissance d’ordre métaphysique, qui a été précédée d’une autre « chute », plus originelle : la prévarication des anges rebelles), le festin céleste des Noces éternelles dans le Royaume divin. 

Nous n’avons donc plus le temps de répondre « aux cadavres ambulants » usurpant des titres maçonniques. Quant aux ignorants : réfléchissez maintenant que vous savez et que vous avez entendu.... et à nous autres, ne l'oublions-pas : Nous serons jugés sur nos devoirs ! : 

« Qu’aurons-nous fait de nos talents ? » nous sera t-il demandé.... (Matthieu XXV, 14-30) [1] 

Aurons-nous été à la hauteur de la dimension magnifique proposée par le Régime écossais rectifié, à savoir retrouver notre origine divine en œuvrant pour le bien - dans un esprit d'Amour, de Bienfaisance et de Charité - de toute la famille humaine ? » 

(J.- M. Vivenza, 14 mai 2014)

 

 

[1] « Il en sera comme d'un homme qui, partant pour un voyage, appela ses serviteurs, et leur remit ses biens. Il donna cinq talents à l'un, deux à l'autre, et un au troisième, à chacun selon sa capacité, et il partit. Aussitôt celui qui avait reçu les cinq talents s'en alla, les fit valoir, et il gagna cinq autres talents. De même, celui qui avait reçu les deux talents en gagna deux autres. Celui qui n'en avait reçu qu'un alla faire un creux dans la terre, et cacha l'argent de son maître. Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint, et leur fit rendre compte. Celui qui avait reçu les cinq talents s'approcha, en apportant cinq autres talents, et il dit : Seigneur, tu m'as remis cinq talents; voici, j'en ai gagné cinq autres. Son maître lui dit : C'est bien, bon et fidèle serviteur ; tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup; entre dans la joie de ton maître. Celui qui avait reçu les deux talents s'approcha aussi, et il dit: Seigneur, tu m'as remis deux talents; voici, j'en ai gagné deux autres. Son maître lui dit : C'est bien, bon et fidèle serviteur; tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup; entre dans la joie de ton maître. Celui qui n'avait reçu qu'un talent s'approcha ensuite, et il dit : Seigneur, je savais que tu es un homme dur, qui moissonnes où tu n'as pas semé, et qui amasses où tu n'as pas vanné ; j'ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre; voici, prends ce qui est à toi. Son maître lui répondit: Serviteur méchant et paresseux, tu savais que je moissonne où je n'ai pas semé, et que j'amasse où je n'ai pas vanné ; il te fallait donc remettre mon argent aux banquiers, et, à mon retour, j'aurais retiré ce qui est à moi avec un intérêt. Ôtez-lui donc le talent, et donnez-le à celui qui a les dix talents. Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. Et le serviteur inutile, jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. » (Matthieu XXV, 14-30)

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